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Danse en boîtes

Transcription textuelle

Invité pour la troisième fois par le F!ND, Boris Charmatz trouve encore le moyen de nous dérouter. Après Aatt enen tionon, sa danse du risque menée sur une plate-forme de trois étages lors des Danses à L’Usine en 2000, et Con forts fleuve, une pièce suffocante d’inconfort, voici le plus ludique héâtre-élévision. Cette fois, il s’agit d’une installation vidéo pour spectateur unique. Le résultat en est l’expérience vécue (donc fort convaincante) de la redéfinition de l’espace de la représentation et du rapport artistes public.

Au milieu d’une grande salle de répétition trône un piano recouvert d’une housse sur lequel on est invité à s’étendre. À moins d’un mètre au-dessus de soi, un téléviseur semble être le centre d’intérêt de cette mise en scène.

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